Synopsis.
France Inter voulait rajeunir sa cible et s’éloigner de son image élitiste et intello en capitalisant sur ses animateurs.
Ces films et ces radios avaient pour but de donner à entendre un concentré de l’esprit Inter, une journée de France Inter synthétisée en 30’’ et 20’’.
Les cadavres exquis sonores loufoques obtenus en associant des morceaux de phrases d’animateurs ont ensuite été illustrés littéralement par Mrzyk et Moriceau.
Bref, France Inter, c’est que du bonheur. En tranches.